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10 février 2023
Déstabilisée par le Grand-Confinement de 2020 et son lot de préoccupations, l’artiste photographe Lison Chénier y a trouvé un souffle créateur, un exutoire, un élan compensatoire. C’est ainsi que, mue par un instinctif besoin de douceur, l’artiste est entrée dans le paysage intime des fleurs.
« Chacune de ces merveilles, dit-elle, dévoile une personnalité bien distincte, exprimée par sa couleur, sa texture, sa tige et son feuillage. Il importe donc de déceler l’essence du sujet dont les qualités dégagent l’ambiance recherchée. »
Sa quête de douceur, l’artiste l’exprime en s’inspirant du mouvement impressionniste et de la peinture à l’aquarelle. La technique de voile végétal, qu’elle utilise, se passe à la prise de vue. Son appareil photo Nikon et sa lentille macro, puis le développement numérique sont ses outils de travail.